Milan, 9 jan (LaPresse) – Les jours de l'emprisonnement de Cecilia Sala en Iran « ont été très durs. Je ne souhaite à personne de vivre ce que ma femme et moi avons vécu : nous nous sommes sentis impuissants. Nous devons remercier du fond du cœur le ministre Tajani et le Premier ministre Meloni pour le travail extraordinaire qu'ils ont accompli ». C'est ce qu'a déclaré Renato Sala, père de la journaliste Cecilia, interrogé par « La Stampa ». La famille a été informée de la libération de la journaliste par « le premier ministre et M. Tajani, avec qui j'ai été voisin pendant douze ans et avec qui une amitié s'est nouée. Il m'a dit « ne t'inquiète pas, Cecilia va venir en Italie » », a ajouté M. Sala.