Milan, 14 mars (LaPresse) – L'ADN d'Andrea Sempio doit être "comparé" non seulement avec le "profil génétique extrait du matériel biologique retrouvé sous les ongles" de Chiara Poggi, mais aussi avec "d'autres traces biologiques retrouvées sur la scène du crime" dans la villa de Garlasco.
C'est ce qu'écrit la juge de Pavie, Daniela Garlaschelli, dans l'ordonnance autorisant le prélèvement forcé d'échantillons biologiques, émise le 6 mars dernier, à l'encontre du trentenaire soupçonné d'homicide volontaire en concours avec Alberto Stasi ou "d'autres individus".
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