Rome, 12 juillet (LaPresse) – Sur l'échantillon buccal prélevé sur Chiara Poggi il y a 18 ans et qui n'avait jamais été analysé jusqu'à présent, une quantité « infinitésimale » d'ADN a été trouvée. Elle ne correspond ni à Alberto Stasi, condamné définitivement pour le meurtre de la jeune fille, survenu le 13 août 2007 à Garlasco, dans la province de Pavie, ni à Andrea Sempio, mis en examen dans la nouvelle enquête sur cette affaire. L'ADN est attribuable à une contamination.