Milan, 11 septembre. (LaPresse) – L'avocate Alessia Pontenani, le psychiatre Marco Garbarini et trois psychologues de la prison San Vittore de Milan ont demandé à être jugés en procédure abrégée dans le cadre de l'enquête menée par le parquet de Milan sur le « plan » présumé orchestré par la défense d'Alessia Pifferi pour détourner le procès pour meurtre volontaire de sa fille de 18 mois, Diana, en prétendant que la femme était « atteinte d'un retard mental grave » et éviter ainsi la condamnation à la prison à perpétuité. C'est ce qui est ressorti lors de l'audience préliminaire qui s'est tenue ce matin devant le juge Roberto Crepaldi pour les accusations de complicité et de nombreux faux. Seule la psychologue Letizia Marazzi a demandé la procédure ordinaire. La procédure a été reportée au 22 septembre et au 9 octobre, avec les débats de la défense, afin de statuer sur la demande de renvoi en jugement du parquet, les éventuels acquittements ou condamnations et les acquittements en procédure abrégée.
© Copyright LaPresse
