Une trêve renouvelée de deux mois au Yémen déchiré par la guerre est la première étape vers un accord de paix plus large, a déclaré vendredi l’envoyé spécial des Nations Unies.
La trêve « a apporté à la population un répit humanitaire sans précédent dans l’histoire du conflit, et de ce point de vue, elle nous offre également une marge de manœuvre et un répit pour nous engager dans un processus de règlement politique du conflit » selon le diplomate suédois Hans Grundberg qui s’est exprimé dans le cadre d’une interview accordée à nos confrères de l’AFP.
En marge du Forum international du Yémen à Stockholm le diplomate a insisté sur le fait que la trêve est la première étape vers un règlement plus large, lors d’une conférence à laquelle ont participé des acteurs politiques yéménites, des experts et des représentants de nombreuses organisations de la société civile.