Le baril de West Texas Intermediate (WTI, variété standard américaine) pour livraison en janvier, a perdu 13,06%, pour finir, à New York, à 68,15 dollars.
Le WTI a ainsi retrouvé, en une journée, son niveau de début septembre, avant l’ascension qui l’avait mené au-delà de 85 dollars le baril.
A Londres, le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en janvier également, a cédé 11,55% vendredi, pour clôturer à 72,72 dollars.
Le mouvement était directement lié à la découverte, en Afrique du Sud, d’un nouveau variant du coronavirus.
Initialement appelé B.1.1.529, il a été baptisé Omicron vendredi par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), qui l’a qualifié de « préoccupant ».