Les autorités françaises ont ouvert pas moins de 400 enquêtes sur des réseaux présumés de faux « pass sanitaires », a dévoilé dimanche le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.
Les émetteurs de ces faux documents risquent de lourdes peines, mais également ceux qui s’en servent, a tenu à rappeler le ministre de l’Intérieur.
En France, les fraudeurs du « pass sanitaire » encourent une peine maximale de cinq ans d’emprisonnement et 375.000 euros d’amende. Les professionnels de santé peuvent eux être punis d’une interdiction définitive d’exercer.

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