L’ONG a interrogé des proches, parents d’accueil, assistants sociaux et enseignants d’une centaine d’enfants âgés de deux à 17 ans, tous revenus de zone irako-syrienne entre 2019 et 2022 et ce dans les sept pays suivants: Allemagne, France, Kazakhstan, Ouzbékistan, Pays-Bas, Royaume-Uni et Suède.
Il en ressort que 89% des personnes interrogées estiment que l’enfant s’adapte « très bien » ou « assez bien », en dépit des mois passés sous le joug de l’organisation Etat islamique (EI) ou dans l' »horreur » des camps de déplacés du nord-est syrien. Seules 4% de ces personnes indiquent que l’enfant est en difficulté.
Par ailleurs, 73% des personnes interrogées affirment que l’enfant se débrouille « très bien » ou « assez bien » en classe, malgré un piètre accès à l’éducation durant leur captivité.