Ce plan, qui comprend la restructuration et la recapitalisation des banques, et la protection des petits épargnants « dans la mesure du possible ».
Il évoque également la dissolution des banques en difficulté, tout en protégeant les petits déposants. Le gouvernement a par ailleurs augmenté les prix des télécommunications, une décision controversée dans un pays où la monnaie nationale a perdu plus de 90% de sa valeur.
Depuis 2019, le Liban est miné par la pire crise socio-économique de son histoire imputée par une grande partie de la population, des organisations internationales et pays étrangers à la corruption et l’inertie de la classe dirigeante, inchangée depuis des décennies.