Aux termes de cet accord, l’entreprise américaine basée à Seattle évite une amende pouvant atteindre 10% de son chiffre d’affaires mondial.
Dans la première affaire, Amazon a été accusé d’utiliser sa taille, son pouvoir et ses données pour promouvoir ses propres produits afin d’obtenir un avantage déloyal sur les marchands rivaux qui utilisent également sa plate-forme.
La société a accepté de ne pas utiliser les données des vendeurs pour son propre commerce de détail concurrent et ses produits de marque privée.
La deuxième affaire concernait l’égalité de traitement des vendeurs lors du classement de leurs offres pour la « boîte d’achat » de son site web, qui génère la majeure partie de ses ventes.