Dans une note aux employés, le directeur général de l’entreprise basée à Seattle, Andy Jassy, a indiqué que les suppressions d’emplois, qui représentent environ 6% de l’effectif total du géant du commerce en ligne, concernent les divisions de vente en ligne et les ressources humaines, y compris en Europe.
Les salariés concernés ou représentants des salariés dans le Vieux continent seront avertis à partir du 18 janvier, a ajouté le dirigeant, qui évoque « l’incertitude économique » et le « rythme rapide des recrutements effectués ces dernières années ».
La décision d’Amazon intervient dans un contexte de réductions d’emplois parmi les grands groupes technologiques américains. Meta, la maison-mère de Facebook, a procédé l’année dernière à la suppression de 11.000 emplois. Mercredi, le fabricant américain de logiciels Salesforce a quant à lui annoncé la suppression de 10% de ses effectifs dans le monde.