Par catégorie, 99,2% de ces défaillances concernent les très petites entreprises (TPE), alors que les petites et moyennes entreprises (PME) représentent 0,7% et les grandes entreprises(GE) 0,1%, précise l’étude.
La hausse des défaillances s’explique en partie par la faible utilisation de la procédure de sauvegarde (à peine 27 en 2022), fait remarquer Inforisk, ajoutant que les entreprises marocaines sont encore « faiblement averties » des mesures préventives existantes.
La part des procédures de sauvegarde dans les défaillances en 2022 représente 0,25%, celle des redressements judiciaires est à 0,06%, tandis que la part des liquidations judiciaires, dissolutions, radiations et cessations dans les défaillances représente 99,69%.