Au lendemain d’une mission de revue dans le pays, il a estimé dans un communiqué que ces soutiens « évincent les dépenses prioritaires », représentant six fois le budget alloué à l’agriculture, quatre fois celui de la santé et plus de trois fois ceux de l’énergie et de l’eau.
La réforme de ces subventions devrait néanmoins s’accompagner de mesures visant à atténuer l’impact sur les plus vulnérables, notamment des transferts monétaires, a souligné le FMI pour qui le rythme des réformes structurelles doit en outre être fortement accéléré, y compris par un effort concerté pour améliorer le climat des affaires du secteur privé afin de soutenir une croissance inclusive et résiliente.