Milan, 31 janv. (LaPresse) – Concernant le secteur automobile, "nous avons été les premiers à dire qu’il faut changer immédiatement pour éviter l’effondrement. C’est pourquoi, en septembre, nous avons présenté un document de révision du Green Deal, soutenu par 15 pays européens, et avons demandé d’agir rapidement. Les lenteurs qui caractérisent malheureusement les institutions européennes ne tiennent pas compte de la concurrence de la Chine et des États-Unis", a déclaré Adolfo Urso, ministre des Entreprises et du Made in Italy, sur 24 Mattino sur Radio24.

"Je considère que les amendes sont un obstacle insurmontable pour l’industrie automobile européenne, qui serait pénalisée à hauteur de 15 milliards d’euros. Leur suppression est nécessaire, mais elle n’est absolument pas suffisante. On ne peut pas cacher l’éléphant derrière une armoire ; il faut immédiatement aborder et résoudre la question des amendes", a-t-il ajouté, insistant sur la nécessité de traiter la question de la neutralité technologique.

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