Rome, 28 avril (LaPresse) – "Le Pape François a accordé une grande attention aux problèmes du travail. L'un de ses messages a été de donner une voix à ceux qui n'en ont pas, de faire du bruit et de ne pas renoncer à lutter contre les inégalités. Le 1er mai est aussi l'occasion de relancer avec force la nécessité d'une action qui remette la personne au centre," a déclaré le secrétaire de la CGIL, Maurizio Landini, lors de la conférence de presse de présentation du Concertone.
"Nous faisons face à un massacre qui ne s'arrête pas", a-t-il ajouté. "Parler de travail sûr signifie remettre la personne au centre, travailler avec dignité. Parler de cela, c'est parler de l'avenir, des changements. La technologie n'est pas neutre, cela dépend de celui qui l'utilise et pour quels fins."