Face aux multiples alertes sur la dégradation de la qualité de l’air, l’organisation mondiale de la santé (OMS) a publié, ce mercredi, des lignes directrices mondiales plus contraignantes en s’appuyant sur de nouvelles données révélant l’ampleur de l’impact de la pollution atmosphérique sur toutes les parties du corps.

Il s’agit de la première mise à jour depuis 2015 des lignes directrices mondiales de l’OMS sur la qualité de l’air.

Concrètement, l’OMS a abaissé la quasi-totalité de ses seuils de référence, juridiquement non contraignants, qui portent principalement sur les polluants dits classiques: les particules en suspension, l’ozone, le dioxyde d’azote, le dioxyde de soufre et le monoxyde de carbone.

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