Elle prévoit, entre autres, la mise en œuvre d’activités de coopération à travers plusieurs mécanismes, y compris l’échange d’expériences et d’informations, l’accès aux stratégies et politiques environnementales dans les deux pays, et l’encouragement des partenariats au niveau des experts techniques et entre toutes les parties oeuvrant dans le domaine de la protection de l’environnement dans les deux pays.
Ladite convention comprend également la mise en œuvre d’études et de projets environnementaux conjoints, ainsi que la coordination des positions entre les deux pays par la présence, la participation et l’échange de vues aux réunions de la Ligue des États arabes, de l’Assemblée des Nations Unies pour l’environnement et d’autres organisations internationales officielles et non officielles. En outre, elle prévoit une coopération dans le domaine de la gestion intégrée des réserves naturelles, de la conservation de la biodiversité et de la réhabilitation des écosystèmes, de la planification environnementale pour le développement durable des zones urbaines et rurales, des indicateurs environnementaux, du développement durable, de l’éducation environnementale, des technologies modernes, de l’innovation environnementale et des économies écologiques.