Dubaï (Émirats arabes unis), 31 mars (LaPresse) – Dans la nuit de dimanche à lundi, des frappes aériennes américaines présumées ont frappé la capitale yéménite Sanaa, contrôlée par les rebelles. Les Houthis, soutenus par l'Iran, ont déclaré qu'au moins une personne avait été tuée. Les attaques autour de Sanaa, la capitale du Yémen, aux mains des Houthis depuis 2014, ont également blessé quatre autres personnes, ont déclaré les rebelles. Leur chaîne satellite al-Masirah a diffusé des images de vitres de maisons brisées après l'explosion des bombes, mais n'a toujours pas montré les cibles des attaques, suggérant que les sites avaient une fonction militaire ou de renseignement. Une analyse de l'Associated Press a révélé que la nouvelle opération américaine contre les Houthis sous la présidence de Donald Trump semble plus étendue que celles menées sous l'ancien président Joe Biden, car les États-Unis ne visent plus uniquement les sites de lancement, mais aussi le personnel de haut rang et larguent des bombes dans les villes.

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