Milan, 19 juillet (LaPresse) – « La décision du parquet de Palerme contre l'acquittement de Matteo Salvini » dans l'affaire Open Arms « a suscité une vague de solidarité envers le ministre tant en Italie (à commencer par Giorgia Meloni et Antonio Tajani) qu'à l'étranger ». C'est ce qu'indique un communiqué de la Ligue. Les alliés européens des Patriotes ont envoyé des messages de soutien au vice-Premier ministre de la Ligue. La présidente du Rassemblement national, Marine Le Pen, a écrit : « La persécution n'a pas de limites. Le recours déposé par le parquet de Palerme contre l'acquittement de Matteo Salvini, scandaleusement jugé pour avoir empêché des immigrants clandestins de débarquer en Italie lorsqu'il était ministre de l'Intérieur, démontre une ténacité qui n'échappe plus à personne. Tout mon soutien va à Salvini, dont je connais le courage face à cette injustice ». Et Viktor Orban, Premier ministre hongrois, a commenté : « L'absurdité de la gauche est bien visible : les procureurs italiens font appel de l'acquittement de Matteo Salvini dans l'affaire « Open Arms » pour avoir fait ce que tout dirigeant responsable devrait faire : défendre les frontières de son pays. Ce n'est pas de la justice, c'est une vengeance politique. Nous sommes avec Matteo ! ». En réponse au leader du Fidesz, Geert Wilders, leader du Parti pour la liberté néerlandais, a écrit : « Il en va de même pour moi : la décision de faire appel de l'acquittement de notre ami et allié Matteo Salvini est une honte et une décision politiquement motivée de la part des procureurs de gauche. Défendre les frontières de son pays n'est pas un crime, mais une vertu ». Santiago Abascal, de Vox, a quant à lui souligné : « Ils ne pardonneront pas à des personnes honnêtes et courageuses de montrer aux Italiens que les frontières nationales peuvent et doivent être protégées. Les institutions meurent lorsqu'elles cessent de servir le peuple et succombent à des maladies idéologiques. Courage, Matteo. Nous sommes avec toi ».

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