New York (États-Unis), 23 septembre (LaPresse) – L'humanité est entrée dans « une ère de bouleversements inconsidérés et de souffrances humaines incessantes ». Tel est le message du secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, dans son discours d'ouverture devant l'Assemblée générale de l'ONU. La grande semaine de réunions de l'Assemblée générale a débuté lundi par une série d'événements, dont une conférence sur le conflit israélo-palestinien et la solution à deux États, au cours de laquelle plusieurs pays, dont la France, ont annoncé la reconnaissance de l'État palestinien. Les principaux dirigeants qui prendront la parole aujourd'hui sont : le président brésilien Luiz Inácio Lula da Silva, le président américain Donald Trump, le président turc Recep Tayyip Erdogan, le roi de Jordanie Abdullah II ; le président français Emmanuel Macron ; le président sud-coréen Lee Jae Myung ; et le président sud-africain Cyril Ramaphosa. Le Brésil inaugure une tradition vieille de dix ans, qui remonte à l'époque où il était le seul pays à se porter volontaire en premier, suivi par le pays hôte, les États-Unis.
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