La cour d’appel de Casablanca a confirmé , dans la nuit de jeudi à vendredi, la lourde peine prononcée en première instance contre le journaliste marocain Omar Radi.

Il a été condamné à six ans de prison ferme pour « atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat » avec « financièrement de l’étranger » et pour « viol », deux affaires distinctes, instruites et jugées conjointement. Mardi, le parquet avait réclamé « la peine maximale contre l’accusé au regard des éléments à la charge ».

Un autre journaliste, Imad Stitou, a lui aussi été condamné à un an de prison, dont six mois ferme, dans la même affaire de « viol », comme en première instance. Jugé en son absence, Stitou a quitté le Maroc pour la Tunisie.

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