Ce coup de filet a permis la libération des travailleurs migrants, dont des Marocains. « Les suspects font partie d’une structure criminelle qui se consacre à l’exploitation de travailleurs migrants, dont la plupart ont été attirés de leurs pays d’origine pour venir travailler dans des fermes de la région », ont indiqué les autorités dans un communiqué.
Les suspects, des femmes et des hommes âgés de 22 à 58 ans, sont de nationalité portugaise et d’autres pays d’Europe, a ajouté la police sans autre précision.
Les dizaines de victimes de ce trafic ayant pu être identifiées sont originaires de Roumanie, de Moldavie, d’Inde, du Pakistan, du Sénégal, du Maroc ou encore d’Algérie, a-t-elle indiqué.