Kelly (juriste), qui a été arrêté en 2018 à Tokyo, s’est retrouvé face à la justice japonaise depuis la fuite au Liban de l’ancien patron de l’alliance automobile Renault-Nissan-Mitsubishi Motors Carlos Ghosn.
La loi japonaise prévoit comme peine théorique, dix ans de prison pour Kelly, pour avoir aidé Ghosn à dissimuler 9 milliards de yens entre 2010 et 2018, que Nissan devra payer aux autorités boursières japonaises.
Les plaidoiries de la défense sont prévues le 27 octobre.
Kelly vit actuellement en liberté sous caution depuis fin 2018, avec interdiction de quitter le territoire japonais durant la procédure pénale en cours.