Le 8 mars représente « une occasion annuelle pour faire le point sur les progrès réalisés dans ces domaines mais surtout de diagnostiquer les défis auxquels nous sommes encore confrontés et de relancer notre engagement à les relever », a souligné le ministre italien des affaires étrangères, Luigi Di Maio, dans une déclaration à l’occasion de la Journée internationale de la femme.
« Nous continuons à travailler pour favoriser une reprise durable et inclusive et pour surmonter les conséquences négatives que la pandémie de Covid-19 a eues sur l’autonomisation économique des femmes et l’accès des femmes à l’éducation et à la formation », a-t-il indiqué.
Au cours de sa présidence, l’année dernière, du Comité des ministres du Conseil de l’Europe, « l’Italie a placé l’émancipation des femmes et la lutte contre la violence et la discrimination sexiste au centre de ses priorités », a relevé le chef de la diplomatie italienne.