Celle de Marioupol « n’est pas la seule. A Zhytomyr (nord-ouest), la maternité a été complètement détruite. A Saltivsky, dans l’agglomération de Kharkiv (nord-est), la maternité a aussi été détruite », a précisé le responsable lors d’un entretien vidéo avec des journalistes à l’ONU à New York, sans pouvoir dire qui était à l’origine des bombardements et s’ils avaient fait des victimes.
L’attaque contre cet hôpital a provoqué l’indignation des autorités ukrainiennes et occidentales. L’armée russe a qualifié jeudi de « mise en scène » de « nationalistes » ukrainiens la frappe.