« Donc, se rencontrer et dire ‘Qu’est-ce que tu penses? Moi je pense que… serait juste contre-productif », a-t-il poursuivi, lors d’une conférence de presse, alors que les délégations russe et ukrainienne sont attendues lundi à Istanbul pour une nouvelle session de discussions.
Le diplomate russe a réaffirmé les exigences formulées par le Kremlin dès le début de l’offensive contre Kiev le 24 février : la protection des populations du Donbass, ainsi que la « démilitarisation » et la « dénazification » de l’Ukraine.
« La dénazification et la démilitarisation de l’Ukraine sont un élément obligatoire de l’accord que nous essayons d’obtenir », a-t-il déclaré. « Nous aurons besoin d’une rencontre (Poutine/Zelensky, NDLR) seulement une fois que nous aurons une visibilité sur le règlement de ces questions clés. »