Début avril, Madrid avait décidé d’expulser le même nombre de diplomates russes représentant, selon le gouvernement espagnol, une « menace pour les intérêts du pays ».
« Mais l’expulsion décidée par les autorités espagnoles se basait sur des motifs de sécurité dûment justifiés, qui n’ont pas eu lieu » dans le cas de l’expulsion des diplomates espagnols, a poursuivi le ministère, assurant que ses diplomates en Russie avaient « toujours respecté pleinement les obligations prévues par la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques ».