Ce scandale, qui a coûté son poste à la cheffe du Centre National du Renseignement (CNI), a éclaté le mois dernier après la révélation que les téléphones d’indépendantistes catalans avaient été écoutés par les services de renseignement espagnols au moyen du logiciel espion israélien Pegasus.
L’affaire avait ensuite pris une autre dimension lorsque le gouvernement avait dévoilé que Sánchez et sa ministre de la Défense avaient eux même été espionnés par ce logiciel, cette fois dans le cadre d’une « attaque externe ».