Le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres a « fortement condamné » l’attaque, selon un communiqué de son porte-parole qui a précisé que le bilan était d’« au moins 13 personnes, dont 11 enfants » tuées.
« Même pendant les conflits armés, les écoles doivent restées des zones où les enfants sont protégés, pour apprendre », a-t-il ajouté. « Les auteurs des crimes internationaux commis en Birmanie doivent être tenus pour responsables ».
Depuis le coup d’État du 1er février 2021 qui a renversé la dirigeante civile Aung San Suu Kyi, le chaos règne en Birmanie, où la junte au pouvoir mène une répression sanglante contre ses opposants, avec près de 2300 civils tués et plus de 15 000 arrêtés, selon une ONG locale.