« Je pense que la coopération d’Elon Musk, et/ou les relations techniques avec d’autres pays, méritent d’être examinées », a déclaré le président américain lors d’une conférence de presse, en réfléchissant visiblement avec soin aux mots employés pour sa réponse.
Le dirigeant démocrate répondait à une question concernant l’implication du prince saoudien Al-Walid bin Talal dans le rachat de Twitter par le patron du constructeur automobile Tesla.
Le prince al-Walid a en effet apporté à Elon Musk les presque 35 millions d’actions qu’il détenait déjà dans le réseau social, directement et via sa holding KHC, ce qui en fait le deuxième actionnaire du groupe.