« J’ai des inquiétudes quant à la position de certains »: la cheffe de la diplomatie libyenne du gouvernement de Tripoli, Najla al-Mangouch, déplore l’absence de nombreux pays arabes à une réunion consultative de la Ligue arabe, qui s’est ouverte dimanche dans la capitale libyenne, signe des divisions régionales persistantes sur l’épineux dossier libyen.
Seuls cinq des 22 membres de l’organisation panarabe, en l’occurrence l’Algérie, la Tunisie, la Palestine, le Soudan et les Comores, ont en effet dépêché leurs chefs de diplomatie, tandis que d’autres ont opté pour un niveau de représentation moins élevé.