Accompagné des chefs des Eglises d’Angleterre et d’Ecosse, représentants des deux autres confessions chrétiennes du plus jeune Etat du monde, François a estimé vendredi que le « chemin tortueux » de la paix ne pouvait « plus être reporté », lors d’un discours très politique devant les autorités dans la capitale Juba.
De 2013 à 2018, ce pays de 12 millions d’habitants a été en proie à une guerre civile sanglante entre les partisans des deux leaders ennemis Salva Kiir et Riek Machar, qui a fait 380.000 morts.
Samedi matin, le souverain pontife s’est exprimé devant les évêques, prêtres et religieux catholiques à la Cathédrale Sainte-Thérèse.