Dans une déclaration commune, ils ont condamné l’arrestation du directeur général de la radio privée Mosaique FM, Noureddine Boutar, après son audition sur la ligne éditoriale de l’établissement.
« Il s’agit d’une tentative d’intimider les médias et les journalistes et de faire taire toutes les voix libres », ont-ils regretté.
Les signataires de la déclaration ont, par ailleurs, dénoncé « l’instrumentalisation des appareils de l’Etat et leur assujettissement par le pouvoir en place pour régler des comptes avec les opposants », appelant le chef de l’Etat à « cesser le discours d’intimidation et d’incitation à la haine ».