Ils sont reconnus coupables d’avoir préparé, entre mars et novembre 2018, un projet d’action violente contre Emmanuel Macron. Le tribunal a estimé en revanche qu’il n’y avait « pas d’acte préparatoire à des actions violentes contre des députés, migrants ou mosquées », a indiqué le président.
Aucun d’eux n’ira en prison, leur détention provisoire couvrant la partie ferme prononcée, sinon elle sera réalisée sous forme de détention à domicile avec bracelet électronique.