« Le dialogue a repris avec l’Iran sur la clarification » de la question de trois sites non déclarés, où des traces d’uranium ont été découvertes par le passé, a tweeté M. Grossi.
Le gendarme onusien du nucléaire déplore depuis des mois l’absence de progrès dans ce dossier, qui avait valu à la République islamique le vote d’une résolution critique par le Conseil des gouverneurs de l’AIEA en juin.
Dans un récent rapport, l’AIEA avait durci le ton, estimant « ne pas être en mesure de garantir » que le programme iranien soit « exclusivement pacifique ».
Téhéran a demandé à plusieurs reprises la clôture de l’enquête de l’AIEA sur les sites en question, ce que M.Grossi refuse de faire sans réponses « crédibles » de la part de l’Iran.
« J’espère que mes discussions mettront fin le plus tôt possible aux fausses accusations concernant certains sites » nucléaires, avait déclaré M. Eslami avant son départ pour Vienne, dénonçant les « pressions » exercées contre son pays.