Concernant la révision du code électoral, les acteurs ont affirmé être parvenus à un consensus sur l’élection des maires au suffrage universel direct, le vote dans les zones à fort défi sécuritaire et celui des personnes déplacées internes, la révision des dispositions relatives à l’enrôlement des électeurs, le nomadisme politique, et la campagne électorale déguisée.