Selon un décret présidentiel, cette décision a été prise suite à l’amélioration de la situation, notamment le transfert de pouvoir à la suite des élections de 2020, une diminution significative de la violence et la poursuite des réformes par le président Evariste Ndayishimiye dans plusieurs secteurs comme la traite des personnes, les réformes économiques et la lutte contre la corruption.
Rappelons que le 22 novembre 2015, l’administration Obama avait pris un pack de sanctions contre le Burundi où la situation était marquée par les assassinats et la violence contre les civils.