« Nous avons plus que jamais besoin d’une Constitution qui protège le pays et ses citoyens et qui régisse les élections », a affirmé M. Dbeibah lors d’un colloque à Tripoli, intitulé « La Constitution d’abord », réunissant plusieurs notables de l’Ouest libyen.
Les Libyens « veulent des élections libres qui respectent leur volonté, et non la prolongation de la crise avec une nouvelle transition », a-t-il poursuivi.
Quelque 2,4 millions de Libyens avaient récupéré leur carte d’électeur, sur une population de 7 millions, en vue d’un double scrutin initialement prévu le 24 décembre et reporté à une date ultérieure non encore fixée.