Ce groupe politico-militaire évoque, dans un communiqué relayé par la presse locale, » une décision prise à contrecœur » mais » nécessaire étant donné le contexte « .
Le groupe tchadien a estimé, dans son communiqué, qu’il ne peut pas obtenir » des assurances concernant des activités militaires suspectes près de ses positions » au nord du Tchad.
Ouvertes le 13 mars au Qatar, les négociations entre les groupes politico-militaires et la junte tchadienne doivent mener à un dialogue autour de la transition à N’Djamena le 10 mai. Les participants doivent parvenir à un accord sur les conditions préalables à ce dialogue national.