«La directrice générale de l’UNESCO, Audrey Azoulay, et la Haute-Commissaire des Nations unies aux droits de l’Homme, Michelle Bachelet, demandent la libération immédiate de deux des membres de leur équipe qui sont détenus à Sanaa depuis début novembre 2021», ont déclaré les deux organisations dans un communiqué conjoint.
«Malgré les assurances répétées depuis novembre dernier du mouvement Ansar Allah (également connu sous le nom de «Houthis») que les deux membres de l’équipe seraient immédiatement libérés, leur lieu de détention reste inconnu», ajoute le communiqué.
En vertu du droit international, le personnel de l’ONU bénéficie de privilèges et d’immunité, qui sont essentiels au bon exercice de ses fonctions officielles, rappellent les deux organisations.