Il n’y a « aucun intérêt » à dialoguer avec ses adversaires, a-t-il indiqué, alors que ses partisans occupent depuis cinq jours le Parlement, ajoutant qu’il proposait « un processus démocratique révolutionnaire pacifique, puis des élections démocratiques anticipées après la dissolution du Parlement actuel ».
Les Etats-Unis, le Royaume-Uni et la France ont insisté récemment sur l’urgence de remettre la Libye sur la voie des élections, exhortant les acteurs libyens à finaliser rapidement un accord, notamment sur les critères d’éligibilité aux scrutins.
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