Le président a évoqué des raisons de restriction budgétaire et la volonté de faire une gestion efficace des ressources humaines, en conformité avec le budget alloué à la présidence.
Il a fait valoir qu’il est «nécessaire de rationaliser les moyens financiers mis à la disposition de la Présidence de la République» et «son adéquation au budget général de l’État», selon les médias.
«Il n’y a qu’en Guinée-Bissau que les conseillers du Premier ministre, du président de la République, du président de l’Assemblée et de la Cour suprême de justice sont égaux aux ministres, ils reçoivent le même salaire», a déclaré le président.
«Le FMI a compris que nous avons cinq gouvernements. Nous avons le gouvernement lui-même, puis un autre à la présidence, un autre à la primature (cabinet du Premier ministre), un autre à l’Assemblée et un autre à la Cour suprême et le FMI a des règles», a-t-il dit, soulignant que le nombre de conseillers que l’on peut avoir est réglementé.