Rome, 16 janvier (LaPresse) – « Le “bouclier pénal” est une appellation erronée car il est évident que la loi s'applique à tout le monde ». Il est vrai aussi que nous vivons dans une dystonie ancienne », a-t-il ajouté, “le registre des suspects est une institution en faillite : né comme une garantie, il s'est transformé en pilori médiatique et en condamnation anticipée”. « Sans être un « bouclier pénal », ajoute-t-il, l'objectif est de combiner les garanties de la personne avec le fait qu'elle n'est inscrite dans aucun registre de suspects.