Rome, 7 mars (LaPresse) – « Quiconque cause la mort d'une femme lorsque le fait est commis comme un acte de discrimination ou de haine envers la personne offensée en tant que femme ou pour réprimer l'exercice de ses droits ou de ses libertés ou, de toute façon, l'expression de sa personnalité, est puni de la réclusion à perpétuité. En dehors des cas visés à la première phrase, l'article 575 du code pénal s'applique, qui prévoit une peine d'au moins vingt et un ans. C'est ce que l'on peut lire dans le projet de loi qui introduit le crime de féminicide et qui sera aujourd'hui sur la table du Conseil des ministres.

© Copyright LaPresse