Rome, 4 avril (LaPresse) – « La nôtre, comme d'autres constitutions nées de la libération du continent du nazisme et du fascisme, est définie comme une constitution « personnaliste », car elle place la dignité de la personne et non la raison d'État au cœur de l'action de la République. Et ce sont précisément le principe personnaliste et le principe communautaire qui nous font dire que la subsidiarité – subsidiarité verticale mais, à plus forte raison, subsidiarité horizontale – est, depuis ses origines, pleinement inscrite dans le projet constitutionnel, voire en est une explication ». C'est ce qu'a déclaré le président de la République, Sergio Mattarella, lors de sa rencontre au Quirinal avec le président, Giorgio Vittadini, et une délégation de la Fondation pour la subsidiarité.
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