Rome, le 17 avril (LaPresse) – "Deux éléments très positifs ressortent de la rencontre entre Meloni et Trump. La Première ministre a maintenu sa position sur l’Ukraine et a réussi à convaincre Trump de rencontrer l’UE en Italie pour discuter des relations communes. Meloni n’a pas rompu le front européen, mais s’est imposée comme un pont entre les États-Unis et l’Union européenne. Une bonne chose donc pour l’Italie. Reste l’absolue imprévisibilité de Trump comme interlocuteur, avec lequel nous sommes néanmoins obligés de dialoguer. Enfin, louer la lutte de Trump contre la culture woke – qui devient une véritable chasse aux sorcières politique – a été, de la part de Meloni, une grave erreur", a déclaré Carlo Calenda, chef du parti Azione.

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