Rome, 14 mai (LaPresse) – « Nous n'avons pas approuvé plusieurs choix, nous ne partageons pas les récentes propositions du gouvernement israélien et nous n'avons pas manqué de le dire à nos interlocuteurs, tout en étant conscients que ce n'est pas Israël qui a déclenché les hostilités et qu'il y avait un plan, comme je l'ai dit à plusieurs reprises, derrière les attaques inhumaines du Hamas et la cruauté envers les otages. Ce plan visait à l'isolement, ce qui ne peut que nous faire réfléchir à combien il serait dangereux de se plier au plan des terroristes qui n'ont pas hésité à sacrifier la vie d'Israéliens et de Palestiniens pour atteindre leurs objectifs ». C'est ce qu'a déclaré la présidente du Conseil, Giorgia Meloni, lors de la séance de questions-réponses à la Chambre des députés, en réponse à la question posée par Angelo Bonelli (Avs) sur la position du gouvernement à l'égard du Premier ministre Netanyahu concernant la situation à Gaza et en Cisjordanie et les derniers développements.
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