Rome, 24 mai (LaPresse) – « La réforme s'inscrit dans un débat plus large sur le système et témoigne d'une volonté de placer l'exécutif au centre de la scène, non seulement par rapport à la magistrature, mais aussi par rapport au Parlement. Cela est également perçu au niveau européen et suscite des inquiétudes ». C'est ce qu'a déclaré le président de l'ANM, Cesare Parodi, lors de la réunion du Comité directeur central de l'Association, réuni à Palerme.

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