Rome, 31 mai (LaPresse) – Il ne s'agit pas d'un affrontement politique. Ce n'est même pas de la colère. C'est quelque chose de plus sombre, qui témoigne d'un climat malsain, d'une haine idéologique, où tout semble permis, même souhaiter la mort d'un enfant pour atteindre un parent. Et c'est contre ce climat violent que toute la classe politique devrait savoir s'unir. Car il existe des limites qui ne doivent jamais être franchies. Et les défendre est une responsabilité qui dépasse toute appartenance ». C'est ce qu'écrit sur Facebook la présidente du Conseil, Giorgia Meloni, en relayant le post d'une personne qui souhaite à sa fille « le sort de la jeune fille d'Afragola ».
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