Milan, 23 juillet (LaPresse) – « Concernant l'affaire Almasri, dans laquelle je fais l'objet d'une enquête et suis donc tenu au secret de l'instruction », « j'ai déjà fait un rapport au Parlement le 5 février. Il n'y a rien de nouveau et aucun mensonge au Parlement. Je suis surpris que des articles de presse, qui rapportent des informations qui devraient être secrètes, donnent lieu à cette litanie importune. Au moins par respect pour le tribunal des ministres, nous attendons ses décisions avec respect, nous attendons la publication des actes, après quoi, le secret de l'instruction levé, il sera de notre devoir de faire rapport au Parlement en ouvrant un débat qui se conclura conformément aux règles constitutionnelles, si nécessaire ». C'est ce qu'a déclaré le ministre de la Justice, Carlo Nordio, lors de la séance de questions à la Chambre des députés, en réponse à une question du Parti démocrate.

© Copyright LaPresse